50 ans de formation d’ingénieur dans l’Aire urbaine

Avant l’UTBM, il y a eu l’Enibe (École nationale d’ingénieurs de Belfort), l’UTCS (antenne de l’université de Compiègne à Sevenans) et l’IPsé (Institut polytechnique de Sevenans).

Back to 1962

Au début des années 60, les industriels de la région déploraient le manque d’étudiants qualifiés pour répondre à leurs besoins.
C’est ainsi qu’est née l’idée de créer une école dans l’Aire urbaine, une idée portée par la forte volonté d’Alsthom et des collectivités locales
Ainsi naquit en 1962 d’une section d’école d’ingénieurs qui devint deux ans plus tard l’École Nationale d’ingénieurs de Belfort.
Au début des années quatre-vingt l’enseignement technologique supérieur est renforcé dans l’Aire urbaine avec l’implantation d’une antenne de l’université de Compiègne, voulue par les politiques locaux : c’est , l’UTC, qui deviendra ensuite l’IPSé (Institut polytechnique de Sevenans) en 1991.
L’UTBM, fusion de l’Enibé et de l’Ipsé, naît finalement en 1999.

L’école d’ingénieurs de Belfort en 1969 par F3FrancheComte

 

Petite école est devenue grande

50 ans après la création de l’ENI, ce sont près de 11.500 ingénieurs qui ont été formés dans l’Aire urbaine, dont 9.270 sont encore en activité aujourd’hui.

L’UTBM s’est depuis forgée une solide réputation dans le monde de la formation des ingénieurs. Aujourd’hui, Les étudiants viennent de toute la France, mais aussi de l’étranger pour 25% d’entre eux.

Et l’aventure continue….

A l’occasion de ces cinquante années de formation de pointe, l’association des ingénieurs diplômés « Assidu » a proposé un week-end placé sous le signe des retrouvailles, de la découverte des structures et formations actuelles, sans oublier du temps libre pour visiter la région.

Pascal Brochet, notre directeur, a évoqué ce que pourrait être l’UTBM dans 50 ans : “une entité implantée sur cinq continents à Shanghai, Moscou, São Paulo, et Marrakech et forte de 30 000 étudiants”.
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