Zoom sur les soutenances 2012

La période de rentrée, c’est aussi la période des soutenances. Pas encore tout à fait diplômés, les étudiants de dernière année sont venus ici pour soutenir leur mémoire de fin d’études, construit autour d’une problématique bien définie.
Element significatif, près de la moitié d’entre eux a déjà décroché un job, que ce soit dans l’entreprise où ils ont effectué leur stage ou chez un partenaire.
Nous nous sommes donc rendus sur le campus de Belfort pour prendre la température.

Pierrick, Génie mécanique et conception
Après mon bac S passé en Savoie,  j’ai intégré une classe prépa.
Pendant mon stage, j’ai travaillé à l’amélioration continue dans une usine de vannes industrielles à Shanghai.
Je ne me lance pas tout de suite dans la vie professionnelle, car j’ai décidé de poursuivre mes études en intégrant le Master A2I, (affaires industrielles internationales) de l’UTBM.
La dimension internationale est très importante pour moi : après un stage en Nouvelle Zélande, une année Erasmus en Roumanie, j’ai fait mon  ST50 en Chine . Ces expériences m’ont permis de maîtriser l’anglais, ainsi que le chinois.
Concernant le futur, je m’imagine bien faire carrière à l’international.

Mathilde, Ingénierie et management des systèmes industriels

Après un DUT QLIO (Qualité, logistique industrielle et organisation), j’ai intégré le département IMSI (anciennement IMaP) de l’UTBM.
Au cours de mon cursus, j’ai eu la chance d’effectuer un semestre d’études en Finlande, pays sympa mais dans lequel je ne pourrai cependant jamais vivre faute de manque de Soleil (-:
Ma soutenance s’est terminée il y a quelques instants, et tout s’est bien passée. Elle portait sur le thème « Méthodologe et réalisation sur Damia V6 ».
J’ai décroché un emploi dans une entreprises partenaire de celle où j’ai effectué son stage. Je suis très satisfaite de l’UTBM, l’ambiance y est super. Ce que je me vois faire dans 10 ans ? pourquoi pas chef de service !

Cheikh,  Energie et environnement
Avant d’intégrer le département Energie environnement, j’étais en DUT GEII.
J’ai effectué mon stage chez NOVO Nordisk, à Chartres. Le sujet de ma soutenance s’intitule « suivi de la qualification de systèmes pharmaceutiques ».
Je ne suis pas trop stressé pour le moment.
Mon expérience à l’UTBM ? Parallèlement aux cours,  je me suis investi en tant que bénévole au club Welcome, qui est chargé de l’accueil des étudiants internationaux. Leur intégration était quelque chose de très important à mes yeux.
J’ai trouvé emploi trouvé dans une autre entreprise spécialisée dans le secteur de l’automatisme.
Quels sont mes projets pour la suite ? J’ai effectué un stage à Montréal pendant mon cursus, ce qui m’a donné envie de partir à l’étranger.

Camille, Génie informatique
Ma soutenance s’est très bien passée, j’étais plutôt sereine.
Mon parcours est plutôt atypique : après avoir décroché mon bac L à Strasbourg,  j’ai intégré un DUT SRC, puis enfin le département informatique de l’UTBM.
Au lycée, j’ai commencé à l’intéresser à la programmation. Malheureusement, aucun DUT informatique n’acceptait de bac Littéraire. Heureusement, j’ai trouvé un parcours alternatif !
Ma formation d’ingénieur informaticien à  l’UTBM, m’a passionnée. J’ai trouvé un emploi avant même d’avoir fini mes études, je serai ‘Ingénieur recherche et développement » à Mulhouse.
Dans 5 ans pourquoi pas partir à l’étranger, il faut savoir évoluer.

Joffrey, Ingénierie et management des systèmes industriels

Avant d’intégrer l’UTBM, j’ai passé Bac STI génie des matériaux, puis un BTS conception de produits industriels.
J’ai eu quelques difficultés à m’adapter au cycle ingénieur, car la méthodologie est très différente. Après quelques temps, tout s’est bien enclenché.
J’ai fait mon stage dans l’entreprise Thalès à Bordeaux. Le sujet de ma soutenance s’intitule « lean manufacturing dans l’entreprise ». Je n’ai pas décroché de poste là-bas, mais je vous avoue que j’ai des projets bien différents.
Je pars en Australie pendant 6 mois pour découvrir une nouvelle culture. Je vais pouvoir voyager, enchainer les petits boulots et approfondir ma connaissance de l’anglais. Pourquoi ne pas faire carrière dans un pays anglophone par la suite !

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